Mieuxvivre ensemble nĂ©cessite dĂ©sormais plus d'union, plus de respect de la diversitĂ©, plus de comprĂ©hension mutuelle et une lutte efficace contre l'ignorance, l'exclusion et le terrorisme ! Qu'ils soient musulmans ou non, seuls les ignorants peuvent confondre terrorisme, assassinats lĂąches & chaos avec le savoir vivre ensemble en paix de l'islam Militantsyndicaliste (AESO, ANEB) dans une autre vie universitaire, puis chef d’entreprise (Ndlr : Il Ă©tait DG du cabinet IPSO Conseils), il avait Ă©tĂ© nommĂ© le 3 mars 2022 Premier ministre Manytranslated example sentences containing "la libertĂ© arrĂȘte lĂ  oĂč commence celle des autres" – English-French dictionary and search engine for English translations. LibertĂ©scontre libertĂ©s. Il y a eu longtemps acceptation de ce prĂ©cepte modĂ©rĂ© qui voulait que «la libertĂ© des uns s’arrĂȘte lĂ  oĂč commence celle des eIy8J. Par Kharoll-Ann Souffrant. Dans la vie, j’ai un dĂ©faut qui est Ă  la fois une qualitĂ©. Je prends beaucoup de temps avant de me forger un avis sur Ă  peu prĂšs tout. Je suis capable de suspendre mon jugement sur une situation donnĂ©e, de prendre un recul et un temps de rĂ©flexion avant de donner mon point de vue qui dans la plupart des cas, se retrouve Ă  ĂȘtre nuancĂ© plutĂŽt que complĂštement noir ou complĂštement blanc. Je suis capable aussi de remettre en question ce que je tenais pour acquis et d’utiliser mon esprit critique. J’ai aussi une politique personnelle tant sur les rĂ©seaux sociaux que dans la vie. Je fais mon possible pour ĂȘtre franche, directe, mais Ă©galement diplomate et sensible aux Ă©motions d’autrui. Si ce que je m’apprĂȘte Ă  Ă©crire ou Ă  exprimer n’est pas quelque chose que je dirais en pleine face, et bien je m’abstiens de commentaires. Parfois, ça ne vaut pas la peine de nourrir du nĂ©gatif avec du nĂ©gatif. Et puis, il y a toujours une bonne raison pourquoi les gens sont comme ils sont ou qu’ils font ce qu’ils font. On est tous humains aprĂšs tout. Je crois, sans doute, naĂŻvement, que nous essayons tous de faire de notre mieux ici-bas. Donc, je ne veux pas alourdir le fardeau souvent invisible et inconnu de tous que portent les gens sur leurs Ă©paules. Je ne suis pas spĂ©cialement sage, comme diront certains. Je ne suis pas non plus parfaite. C’est que pour avoir Ă©tĂ© victime d’intimidation et de cyberintimidation au secondaire, disons que je fais attention Ă  ne pas heurter les autres Ă  mon tour. Je ne veux pas que les autres se sentent comme moi je me sentais Ă  une certaine Ă©poque. Je sais que les mots en bien comme en mal ça laisse des traces pour la vie et qu’ils peuvent mĂȘme tuer. Alors, quand j’écris, je pense toujours Ă  la maniĂšre dont la personne dont je parle pourrait recevoir mes propos si par inadvertance, elle pouvait tomber dessus. Je crois sincĂšrement que toute tribune vient avec une responsabilitĂ© et j’essaie de m’en porter garante. Mais lĂ  n’est pas exactement le but de ce billet. Parlons de l’affaire Mike Ward-JĂ©rĂ©my Gabriel. Oui, des tas de gens ont Ă©crit lĂ -dessus. Je ne veux pas rĂ©pĂ©ter ce qui a maintes fois Ă©tĂ© dit dans un billet interminable. Or, je crois juste que plusieurs font preuve d’une grande hypocrisie lorsqu’ils abordent la fameuse dĂ©fense intouchable de la libertĂ© d’expression. On n’a qu’à penser Ă  Raif Badawi et plusieurs autres qui croupissent en prison et pour lesquels plusieurs personnes ne se mobilisent pas d’un iota. [1] Mais ce n’est pas sans rappeler l’affaire Gab Roy vs Mariloup Wolfe ou encore Jeff Fillion vs Sophie Chiasson. À plus d’une reprise, on brandit la libertĂ© d’expression comme un passe-droit pour salir, dĂ©truire, blesser, lyncher et j’en passe. Pour briser des vies, mĂȘme si l’intention premiĂšre n’est peut-ĂȘtre pas celle-lĂ . Sans Ă©gard Ă  la maniĂšre dont ça pourrait ĂȘtre reçu par les principaux concernĂ©s. Et ça me pue au nez. De se cacher derriĂšre un humour qui ne fait pas rire pour s’en prendre notamment Ă  ceux qui sont moins privilĂ©giĂ©s dans notre sociĂ©tĂ©. C’est Dany Turcotte qui disait Les fous du roi ne sont pas lĂ  pour frapper sur les plus faibles, mais bien pour Ă©branler le roi. » Ce sera tout pour moi. [1] “J’ai dĂ©cidĂ© de dĂ©construire ce qu’on m’a appris.” Voici les mots justes, puissants et Ă©loquents d’une jeune femme qui a dĂ©cidĂ© d’en finir avec les prĂ©jugĂ©s sexistes. À travers cette vidĂ©o dĂ©complexante, Juliette livre un discours ultra-positif sur la libertĂ© d’ĂȘtre une femme, tout simplement. Juliette Katz est une fĂ©ministe aux paroles Ă©mancipatrices et engagĂ©es. Sur sa page Facebook aux milliers d’abonnĂ©s, elle a publiĂ© une vidĂ©o universelle sur la reprĂ©sentation de la femme au sein de la sociĂ©tĂ©. “J’ai toujours eu comme image des femmes sĂ©ductrices, maquillĂ©es, apprĂȘtĂ©es, parfumĂ©es, hĂ©tĂ©rosexuelles, pourvues d’un vagin et de seins et je me suis donc calquĂ©e sur elles.” En moins de cinq minutes, l’influenceuse parvient Ă  transmettre un message fort sur la libertĂ© d’ĂȘtre soi-mĂȘme. Elle rappelle l’importance de s’affranchir du regard des autres et de s’accepter tel qu’on est. Elle revalorise ainsi la condition fĂ©minine grĂące Ă  des paroles criantes de vĂ©ritĂ©. Pour illustrer cette vidĂ©o, Juliette a choisi une multitude de sĂ©quences diverses qui reprĂ©sentent la vie de chaque femme. Regardez Une trĂšs belle ode Ă  la libertĂ© d’ĂȘtre soi-mĂȘme pour booster son moral en un instant. La libertĂ© des uns s’arrĂȘte lĂ  oĂč commence celle des autres. » proverbeJ’ai toujours pris cette sentence pour acquise, sans vraiment me pencher dessus, la soupeser ou la visualiser. Je l’entendais, comme une ritournelle, depuis petit, Ă  chaque fois qu’on devait brimer ma libertĂ© ou celle des autres. Pourquoi et comment ma libertĂ© doit-elle s’arrĂȘter lĂ  oĂč commence celle de l’autre ? Existe-t-il des frontiĂšres entre les libertĂ©s ? Les libertĂ©s sont-elles des propriĂ©tĂ©s strictement privĂ©es, dĂ©limitĂ©es, dont on ne peut sortir » sans empiĂ©ter sur le terrain de l’autre ? Sont-elles, par consĂ©quent, des prisons aux clĂŽtures invisibles ? Ne puis-je pas cheminer, librement, dans un espace public sans craindre de marcher sur les plates-bandes de quelqu’un ? Existe-t-il une sorte de marquage de territoire », comme dans le rĂšgne animal ? Et si ma libertĂ©, comme dit le dicton, s’arrĂȘte » Ă  une certaine limite, que dois-je faire ? Du surplace ou rebrousser chemin ? Et si je choisis de m’arrĂȘter Ă  la limite, dois-je passer le flambeau de la libertĂ© Ă  cet autre » qui cheminera avec pour le passer Ă  son tour Ă  un autre une fois sa limite atteinte, et ainsi de suite ? Et qui nous dit que la libertĂ© est linĂ©aire ? Ou unidimensionnelle ? Qu’est-ce Ă  dire, la libertĂ© des uns s’arrĂȘte lĂ  oĂč commence celle des autres » ? Est-ce Ă  dire que ma libertĂ© prend fin dĂšs que l’autre commence » Ă  ĂȘtre libre ? Qu’il n’était pas libre avant? Qu’il m’a fallu lui passer la main? Que je ne suis plus libre aprĂšs ? Les libertĂ©s doivent-elles nĂ©cessairement se rencontrer ? Se confronter? Entrer en collision ? EmpiĂ©ter les unes sur les autres ? Ne peuvent-elles pas rouler en parallĂšle ? Comme les automobiles sur une autoroute Ă  plusieurs voies ? Si j’exerce ma libertĂ© de penser, ou de chanter, ou d’écrire, ou de dessiner, pourquoi faut-il que cet exercice soit circonscrit dans des limites spatiales ? En quoi mon prochain peut-il ĂȘtre dĂ©rangĂ© ou se sentir envahi si je pense, ou je chante, ou je danse dans mon univers parallĂšle », dans mon monde Ă  moi, tant que je ne lui cause aucune nuisance, ni sonore, ni visuelle, ni olfactive, nos univers Ă©tant distants et disjoints ? À lui son monde, Ă  moi le mien ; Ă  lui ses goĂ»ts, Ă  moi les miens ; Ă  lui ses valeurs, Ă  moi les miennes ; Ă  lui ses limites, s’il le veut, et Ă  moi mes illimitations, qui ne sauraient lui crĂ©er la moindre entrave, puisque chacun Ă©volue dans son univers. Il n’a pas Ă  venir coller son oreille Ă  ma porte » pour entendre ce que je dis et s’en offusquer, ni moi de mon cĂŽtĂ©. Rien ne devrait arrĂȘter ma libertĂ© car devant moi, il n’y a pas les autres il y a ma libertĂ©. Les autres sont Ă  cĂŽtĂ©, dans leur voie de circulation, dans leur direction, vers leur destination. À chacun sa dimension. À chacun son univers, son royaume ou son enfer ! Ma libertĂ© ne finit pas au seuil de celle d’autrui, tout comme la libertĂ© d’autrui ne commence pas Ă  la fin de la mienne. Aucune libertĂ© ne devrait marquer le dĂ©but ou la fin d’une autre. Ce ne sont pas des bouts Ă  joindre. Ce n’est pas une course de relais. Ce n’est pas une exploitation agricole. À toi ton enclos, Ă  moi le mien. Tu t’arrĂȘtes lĂ  oĂč ma propriĂ©tĂ© un tout autre schĂšme, un tout autre paradigme. C’est un multivers », qui n’a ni limites ni frontiĂšres, qui se situe en dehors de l’espace-temps. Laissez-moi nager, voyager, voltiger dans ma galaxie ». Jouer ma musique, dessiner mes formes, chanter, rĂȘver, danser, tournoyer, farandoler avec mes anges ou mes dĂ©mons ! Et si je me perds dans le vide, c’est ma perdition, pas la vĂŽtre ! Vous, vous ne risquez rien. Et je ne vous ai pas demandĂ© de me rejoindre ! Mais laissez ceux qui aiment mon spectacle astral emprunter ma Voie lactĂ©e ! Elle ne peut croiser la vĂŽtre ! C’est une voie alternative ! Les textes publiĂ©s dans le cadre de la rubrique courrier » n’engagent que leurs auteurs et ne reflĂštent pas nĂ©cessairement le point de vue de L’Orient-Le Jour. La libertĂ© des uns s’arrĂȘte lĂ  oĂč commence celle des autres. » proverbeJ’ai toujours pris cette sentence pour acquise, sans vraiment me pencher dessus, la soupeser ou la visualiser. Je l’entendais, comme une ritournelle, depuis petit, Ă  chaque fois qu’on devait brimer ma libertĂ© ou celle des autres. Pourquoi et comment ma libertĂ© doit-elle s’arrĂȘter lĂ  oĂč... LA LIBERTÉ N'EST PAS LE FAIT D'ÊTRE LIBRE, MAIS LA POSSIBILITÉ QU'À UN INDIVIDU D'AGIR SANS CONTRAINTE.

la libertĂ© s arrĂȘte lĂ  oĂč commence celle des autres